Une nouvelle étude du laboratoire de John Stagg, chercheur membre, dont le premier auteur est Bertrand Allard, démontre un rôle jusqu’alors inconnu du récepteur de l’adénosine A2A dans le cancer. Le récepteur A2A permet normalement aux cellules tumorales d’échapper à l’élimination par les cellules immunitaires. En ce sens, plusieurs inhibiteurs du A2A sont présentement en essais cliniques.
Cependant, les récentes découvertes du laboratoire de John Stagg publiées aujourd’hui dans le journal scientifique Cell Reports Medicine indiquent que les fonctions anti-inflammatoires et anti-obésogènes du récepteur A2A limitent le développement du cancer du foie chez la souris. Cette découverte suggère la prudence dans l’utilisation d’inhibiteurs pharmacologiques de l’A2A chez les patients.
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