L’équipe de Francis Rodier, chercheur membre à l’Institut, montre que le vieillissement cellulaire, protégeant contre le cancer, dépend d’un mécanisme d’instabilité génomique causant la maladie.

L’équipe de recherche a publié une étude dans Nucleic Acids Research montrant, pour la première fois, que la « sénescence cellulaire », un état atteint lorsque des cellules vieillissantes cessent de se diviser, est provoquée par des dommages irréparables au génome plutôt que par la seule érosion des télomères. Cette découverte a pu être réalisée, entre autres, grâce à l’équipement d’imagerie de pointe financé par l’Institut du cancer de Montréal. Elle s’oppose au modèle scientifique populaire des 15 dernières années. 

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